Jeu de voyage et d’aventure, ce nouvel épisode de la série Assassin’s Creed se passe en Egypte pendant l’antiquité.
Créé avec la participation d’historiens égyptologues et archéologues, il est très réaliste avec des paysages splendides, déserts, montagnes, oasis, grottes, pyramides et tombeaux… On se déplace en chameau, à cheval, en bateau et bien sûr à pieds avec la possibilité de grimper, sauter, nager… à travers les provinces d’Egypte, d’Alexandrie à Gizeh. Certains personnages sont historiques : Cléopâtre, Jules César, Ptolémée XIII.
C’est l’histoire originelle de la Confrérie des Assassins. Dans le jeu, le joueur est Bayek en quête de vengeance suite à la mort de son fils. C’est le dernier des Medjay, qui étaient à l’époque l’équivalent de la force de police de l’ancien royaume.
Il y a bien sûr des combats avec son lot d’attaques parades et esquives, et plus de 100 quêtes à réaliser.
Le joueur a le choix entre 3 niveaux de difficulté. Le niveau facile, c’est assez rare pour être signalé, permet réellement à un novice de jouer facilement, remporter des combats et avancer dans le jeu. A tout moment, il est possible de changer le niveau.
Mon avis sur Assassin’s Creed Origins
J’apprécie beaucoup de pouvoir avancer dans le récit sans m’enliser dans une mission que je n’arrive pas à accomplir. En mode facile, ça avance bien. Le graphisme, les paysages somptueux, les personnages : tout est splendide et réaliste. On est très proche de la qualité d’un film de cinéma. L’espace de jeu semble sans fin et avec une multitude de lieux à explorer, de grottes avec des salles cachées. C’est plein de découvertes et surprises.
Les quêtes sont variées. Et culturellement, il est évidemment passionnant de se faire une idée de ce que pouvait être l’Égypte antique pendant les années troubles durant lesquelles se déroule le jeu.
Autour du jeu est proposé toute une offre commerciale de T-shirts, mugs, jeu de Monopoly et ce casque aussi de la marque française très haut de gamme Focal. Il est canon, non?
La Terre du milieu – L’ombre de la guerre est un jeu adapté de l’œuvre de l’écrivain britannique J.R.R Tolkien. L’histoire se déroule entre les aventures du Hobbit et celle du Seigneur des anneaux.
L’univers de Tolkien
Dans La Terre du milieu – l’ombre de la guerre, le joueur incarne Talion. Au cours du jeu, dans 5 zones géographiques, il croise les personnages majeurs de la Terre du milieu, Celebrimbor son grand allié dans le jeu, Idril, Eltariel, Gollum, Arachne bien sûr Sauron et ses terribles Nazgûls qu’il faut stopper à tout prix…. 7 tribus d’orques,… Je vous rassure, il n’est pas nécessaire d’être familier de l’univers fantastique extrêmement riche de Tolkien pour jouer à ce jeu.
Avant de commencer 3 modes sont proposés. “Facile” pour se concentrer sur l’histoire, les ennemis sont vaincus plus facilement. “Normal” pour profiter davantage de ce que le « système d’ennemi peux offrir » ou “Ennemi juré” pour mettre ses compétences de joueur à l’épreuve. Il convient alors d’étudier attentivement les faiblesses des orques. A tout moment, on peut changer le niveau de difficulté. Pour commencer j’ai opté pour le mode facile.
A partir du Chapitre II, vous pouvez recruter votre propre armée pour partir à l’assaut de l’une des 5 forteresses du jeu.
Labande-annonce officielle de Samuel Honrubia pourLa Terre du Milieu™ : L’Ombre de la Guerre™ peut être visionnée et partagée via le lien suivant : https://youtu.be/q4P3-L5vd7I
Mon avis sur La Terre du milieu – l’ombre de la guerre
Visuellement, c’est époustouflant. Les fans de Tolkien devraient être enchantés. Le mode facile permet effectivement à un joueur peu expérimenté d’avancer le jeu (sans pour autant s’ennuyer, certains orques restent coriaces). Des heures et des heures d’aventures sont à venir. Les indications pour avancer défilent au fur et à mesure et sont assez faciles à comprendre.
C’est vraiment un excellent jeu qui combine jeu de rôle avec un très grand nombre de missions à accomplir, combats au sabre, tirs à l’arc, défis, gestion de l’équipement, avec une bonne dose de magie dans un univers fantastique. A la fois adapté aux vrais gamers et aux néophytes.
Avec ce look, on se croirait de retour dans les années 80, ou en Allemagne de l’Est dans les années 90…, avec un pantalon du survêtement porté taille haute. Et le haut rentré dedans.
Je le publie car je pense que c’est la direction que prend la mode : plus de sportswear, la taille des pantalons qui remonte, etc. C’est le style Dadcore.
Half half : Cette tendance mode consiste en des vêtements dont les parties droite et gauche proviennent de 2 vêtements différents. Je l’ai déjà évoquée plusieurs fois sur mon blog mode ces derniers mois. Elle commence à prendre de l’ampleur cet automne.
Cette tendance se poursuivra l’été 2018. Voici des exemples dans la collection été 2018 de Lanvin homme
Gilet de maille fait de 2 moitiés de gilet : une bordeaux, une fuchsia, boutonnées entre elles à la fois devant et derrière.
Variante avec ce pantalon qui est half half non pas gauche / droite mais devant / derrière.
On voit mieux sur cette photo que j’ai prise au show room.
Lanvin était un précurseur de cette tendance comme en témoignent ces pièces issues d’anciennes collections :
Jeans et sneakers Lanvin
J’ai aussi le souvenir de pièces chez Gaultier Monsieur : jupe devant et pantalon derrière.
L’astuce : DIY
C’est une tendance facile à reproduire à la maison, si l’on a une machine à coudre : Prenez deux vieux T-shirts ou deux sweaters, coupez-les en 2 verticalement, puis re cousez ensemble. Vous obtenez un habit half half. Alors pourquoi s’en priver ? De plus, c’est du recyclage. Donc c’est écologique. Et puis la couture, ça occupe.
Half half D’où vient cette tendance mode?
Depuis quelques temps, la tendance générale est à l’excentricité. On voit de plus en plus de tenues complètement dingues, notamment lors des fashion weeks. L’origine de se phénomène vient probablement d’Instagram où les “influenceurs mode” rivalisent d’originalité pour se faire remarquer. Pendant les semaines des défilés, des dizaines de jeunes bloggeurs – stylistes viennent pratiquement déguisés, parfois de manière totalement ridicule, mais c’est le meilleur moyen pour eux de se faire photographier, d’avoir leur photos publiées et de gagner des abonnés.
On peut y voir aussi une évolution de la tendance aux vêtements puzzle bi-matières de 2012. La grande différence c’était qu’il s’agissait de matières différentes cousues ensemble alors qu’elles n’avaient pas vocation à l’être comme la maille et le cuir. Pour les marques de luxe, il s’agissait d’une démonstration de savoir-faire et la proposition de vêtements in-copiables tant leur réalisation était complexe. En ce sens, la tendance actuelle, c’est tout le contraire.
Depuis un an, la grande tendance concernant le design des montres pour homme est d’inspiration rétro avec notamment l’utilisation d’un verre bombé en plexiglas, ou en verre, au lieu des habituels verres minéraux et verres saphir plats. Les cadrans s’inspirent beaucoup des années 1920 à 1970.
Jusque dans les années 80, avant l’invention des verres minéraux et saphir plats, le cadran des montres était protégé par un plexiglas bombé que l’on retrouve énormément cette année. Le plexiglas peut se casser, et se raye facilement tandis que le verre saphir est inrayable et quasi incassable, c’est un monocristal de saphir synthétique réalisé à partir d’une fonte d’alumine à plus de 2000° C. Certaines marques sont parvenues à reproduire l’aspect visuel du plexiglas avec un verre minéral. On retrouve cette tendance aux montres dotées de verres bombés à la fois chez les marques de haute horlogerie et chez les marques grand public. Pour en savoir plus, vous pouvez lire ce Magazine de montre.
Montres au design d’inspiration vintage
Bel exemple de cette tendance avec cette montre Michel Herbelin “Inspiration 1947” au verre saphir bombé. Comme son nom l’indique, elle s’inspire du premier modèle de la marque, datant de 1947 et va jusqu’à utiliser un mouvement mécanique à remontage manuel de l’époque.
Nombreuses sont les marques allemandes à suivre cette tendance. C’est même la même de fabrique de Junghans qui propose essentiellement des montres dotées de tels verres. Ici un modèle Meister Driver qui s’inspire des tableaux de bord automobile des années 30.
Zeppelin LZ 129 et aussi le nom du plus grand dirigeable commercial jamais réalisé et affecté sur une ligne régulière. Il reliait l’Europe aux Etats-Unis. Son incendie en plein vol, le 6 mai 1937 filmé par les actualités cinématographiques dans le New Jersey avait bouleversé la planète.
Montre 2017
Cette ligne de montres de la marque Junkers porte le nom du Bauhaus, école et courant artistique allemand du début du 20ème siècle mêlant architecture, art plastique et peinture et laissant une totale liberté d’expressions artistiques et artisanales. Mouvement à Quartz.
MeisterSinger unemontre à une seule aiguille qui enrichit la collection Neo d’une nouvelle ligne. Baptisée Neo Plus, elle est fidèle au design des années 50.
Une montre ronde, mais à la forme «carré cambrée», d’inspiration vintage, empruntée aux années folles. Briston Clubmaster vintage acier, petite seconde cadran noir.
Longines, marque de haute horlogerie suisse, célèbre le 60ème anniversaire de sa première collection flagship avec ce modèle Heritage produite en édition limitée et numérotée.
Amsterdam, marque néerlandaise de bières créée en 1995, vient de mettre en ligne son site. Il fournit de nombreuses informations sur ses bières, leurs recettes et leur histoire.
Depuis quelques années, la bière est la boisson à la mode. Le nombre de marques et micro brasseries se multiplie. On trouve maintenant même en supermarché quantité de nouvelles bières aux goûts uniques.
Le nouveau site Web des bières Amsterdam fournit beaucoup d’information. Il explique notamment les méthodes de brassage étape par étape : maltage (trempage, germination et touraillage), puis brassage, fermentation, qui dure de 7 à 10 jours, et enfin maturation.
Eau, malt d’orge, houblon et levure
Ses brasseurs utilisent du malt d’orge de Hollande moyennement torréfié, qui une couleur dorée et des arômes de fruits secs caramélisés. Autre ingrédient essentiel, le houblon qui sert à donner du goût à la bière, notamment de l’amertume. C’est aussi une plante connue comme conservateur naturel aux vertus antiseptiques. De son coté la levure sert à transformer les glucides en alcool et gaz carbonique.
Les bières Amsterdam sont plus alcoolisées que la moyenne. Attention donc à l’abus d’alcool, elles sont à consommer avec modération. Elles affichent un volume de 8 à 11,6%. La gamme compte 3 bières blondes à fermentation basse.
Bières blondes au goût fruité, de caramel ou de rhum
Amsterdam Navigator contient 8% d’alcool. Blonde foncée, c’est une lager à fermentation basse. Elle sent, et elle a le goût, d’abricots, de noisettes et de fruits secs. Assez sucrée, elle est peu amère.
Amsterdam Maximator la plus forte, contient 11,6% d’alcool. Ocre aux reflets orangers, elle rappelle l’odeur et le goût du caramel, mais aussi de la réglisse.
Enfin, Amsterdam Black Rum affiche 8° d’alcool est une bière aromatisée au vieux rhum comme son nom l’indique. Ambrée à la mousse dense couleur d’ivoire. Peu amère, elle a évidemment le goût savoureux de rhum boisé.
Une tenue de mi-saison inspirée du sportswear avec un short d’entrainement et un blouson bomber imprimé d’une carte politique du monde. Lucien Pellat-Finet.
Son visage ne vous est peut-être pas inconnu. Le mannequin Willy Cartier est en effet omniprésent depuis quelques années dans les magazines et défilés. Je l’ai interviewé à l’occasion de son partenariat avec Face Factory, marque dont le concept original consiste à laisser des personnalités de la mode et des arts créer leurs propres vêtements.
Présente toi…
Je m’appelle Willy Cartier, je suis Vietnamien-Sénégalais-Breton, fils de deux artistes, ma mère danseuse, mon père peintre et écrivain. Je suis comédien et mannequin.
J’ai commencé à 18 ans, on m’a répéré. De fil en aiguille, je suis entré à l’agence Success Model qui m’a tout de suite signé. Trois mois plus tard, j’ai passé un casting dans les bureaux de Givenchy où j’ai rencontré Riccardo Tisci. Plus tard, il a déclaré dans un magazine que j’étais son préféré et à partir de là j’ai beaucoup travaillé pour Givenchy, Benetton…
Puis j’ai rencontré Jean Paul Gaultier. Je continue à être en relation avec lui depuis l’arrêt de la ligne homme. Il m’invite toujours aux défilés. Un an et demi plus tard, à une soirée, j’ai rencontré Karl Lagerfeld. Le lendemain mon agent m’a appelé pour me dire qu’il voulait me voir. Je suis allé dans sa bibliothèque à Saint Germain. Tout est allé très vite. En trois jours, j’ai dû faire 4 campagnes photographiées par lui : Rolls Royce, Fendi, Double magazine…
Tu as tourné dans quelques films, as-tu des projets ?
Je pars après la fashion week pendant 2 mois et demi en Bolivie pour tourner un film dont le titre s’appelle Soren. Je jouerai le rôle de ce personnage “Soren”.
En quoi consiste ton partenariat avec Face Factory ?
Leur concept c’est de permettre à des artistes de designer des vêtements qu’ils n’auraient peut-être pas pu trouver en magasins, ou en tous les cas de créer des vêtements qui leur ressemblent vraiment.
Peux-tu me décrire tes 3 créations ?
Il y a un long manteau d’hiver comme je les aime. En cachemire, doublé en soie. Avec un col marin. A l’intérieur, il y a d’un coté une poche simple et de l’autre 4 poches avec un zip dont une est cachée. Sur la manche, une autre poche zippée est presque invisible et dans le dos une grande poche cachée. Le manteau peut servir de « sac à dos ». La veste : Je dansais avant et j’ai toujours été fasciné au théâtre ou à l’opéra de voir à quel point les vêtements peuvent danser avec le comédien ou le danseur. Je tenais à créer cet aspect. J’ai gardé une structure pour le corps mais à partir des épaules, c’est de la soie satinée pour que le vêtement soit sensible au vent et à la lumière.
La veste et le manteau comprennent aussi des anneaux. J’ai demandé à mon amie Tania Petit, créatrice de bijoux, de participer. Il y a des anneaux en argent fait à la main sur lesquels des poèmes ont été gravés. Chaque lettre a été gravée au marteau. Je suis vraiment content d’avoir pu mettre de la bijouterie sur mon vêtement. Sur la manche est cousu un tableau de mon père Jack Servoz sous forme de patch brodé.
Est-ce que ça t’a donné envie de créer d’autres vêtements ?
Oui ! Ce n’est certainement pas ma dernière collaboration. Je me vois aussi créer une salopette par exemple. J’adore tout ce qui est unisexe. Je me pencherais moins sur une jupe ou une robe, mais plus sur une pièce que l’on peut rendre chic et qui est portable par les femmes et par les hommes.
Oui c’est vrai. J’en ai porté beaucoup, mais à mes yeux, ça reste une vague, un mouvement. Mais je ne pense pas qu’on soit encore dans un temps où c’est accepté de porter ça partout. Je n’en mettrais pas pour sortir, même si je trouve ça très beau. J’adorerais en designer peut-être plus tard, mais pas aujourd’hui.
Gaultier Monsieur collection hiver 2013
Défilé Gaultier janvier 2012
Gaultier Monsieur
Comment définirais-tu ton style ?
Je m’habille en sombre. J’ai toujours voulu être comme un personnage dessin animé qui est constamment habillé pareil, avoir une silhouette reconnaissable. Je suis fasciné par les matières noires. J’adore.
As-tu déjà dû porter lors d’un défilé ou pour des photos des vêtements que tu détestais ou que tu trouvais ridicules ?
Oui, ça m’est arrivé. Pour une présentation à New York qu’on m’avait demandé de faire « amicalement ». Je portais des trucs en plastique autour de la taille et du torse et le reste du corps j’étais nu. C’était aberrant. Je ne comprenais pas trop le concept. Nu sous du plastique.
Que penses-tu de la mode actuelle ?
Parfois je me demande ce qui change. A part une belle matière, une « nouvelle forme » entre guillemets puisqu’elles ont toutes déjà existé. C’est juste revu ou remis au goût du jour au bon moment. D’autres fois, je suis plus optimiste, je me dis « Waou », il y a vraiment une nouvelle mode chez les jeunes, un nouveau mouvement, quelque chose se passe.
“Mon métier n’est pas une concrétisation de mon combat passé avec mon physique”.
Tout à l’heure je t’entendais dire qu’ado tu étais complexé par ton corps, n’y a-t-il pas un paradoxe de vivre de l’image de ton corps ? Est-ce que ça t’aide d’être mannequin ?
Je ne combats pas mes complexes tous les jours non plus. C’est de moins en moins le cas. Plus je muris, plus je grandis, plus je me concentre sur des buts précis que j’ai envie d’atteindre qui me permettent de moins penser à mon corps. Mon métier, non, ce n’est pas une concrétisation de mon combat passé avec mon physique.
Ce site personnel (blog) a obtenu le statut de « Service de presse en ligne » par la Commission paritaire des publications et agences de presse. L’Etat le reconnait comme un media journalistique. Numéro de CPPAP 0120 W 93848.
Vous pourrez lire des enquêtes sur les tendances mode donnant des explications sur ce qu’elles disent de notre époque, des présentations des collections, des photos street style.
Mais aussi des interviews de personnalités acteurs, chanteurs et sportifs, des articles sur le matériel de sport, les nouvelles technologies, les montres. Des tests de voitures et jeux vidéo. Des photos de voyages, des conseils pratiques…
Bonne lecture.
Après l’article de conseils comment bien se raser, voici comment prendre soin de sa barbe et l’entretenir, avec les conseils d’Aurélien...
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