Parmi les tendances mode homme de l’été 2013, l’inspiration maritime dans tous ses aspects : les marins, le nautisme, la plongée,… Benjamin porte un T-shirt à rayures comme une marinière, avec un bermuda beige. Des lunettes de soleil et un chapeau un peu rétro.
L’autre look est plus rock et urbain avec un jean gris foncé slim et un T-shirt dont le motif est une photo imprimée.
Je sais, ce titre ne veux rien dire 🙂 Voici une sélection de Tee shirts qui évoquent la galaxie. Certains sont édités par Célio à l’occasion de la sortie du nouveau film Star Trek. Avec entre autres un portrait du Spok de la série. Un autre, créé par Eleven Paris, est inspiré de Superman et reprend le logo du super-héros. L’immensité de l’univers a aussi donné des idées à WE et à Meat Japan.
La couleur est l’une des tendances de la mode masculine de l’été 2013. A porter en color blocs contrastés ou en associations pastels pour un look retro/preppy.
Julio, chemise blanche et pantalon turquoise.
J’ai été contacté il y a quelques temps pour participer à un concours de photo sur le thème de l’anticonformisme, organisé par la marque de montre suisse Bomberg. Il m’était demandé de choisir quelqu’un et de montrer en photos 2 aspects de sa personnalité.
Bomberg a pour ambassadeur le boxeur américain Austin Trout, très musclé évidemment, et aussi très tatoué. Mais il ne se contente pas d’être un grand champion, puisqu’il est aussi diplômé de l’université de Mayfield.
Alors pour être en adéquation avec l’esprit de la marque, comme modèle pour mes photos, j’ai choisi Thierry qui lui aussi est tout à la fois amateur de sport et de livres. Le stylisme est très simple, je lui ai juste demandé d’apporter une chemise blanche. Avec les mêmes vêtements d’une photo à l’autre, j’ai tenté de mettre en avant d’une part son coté mec viril tatoué, très sportif et musclé. Et d’autre part, juste en ajoutant 2 accessoires : une cravate et des lunettes de vue (les miennes) son coté intello, sérieux, amateur de littérature. Et bien sûr au poignet, une montre Bomberg, très virile, massive, une design presque militaire. Avec un boitier en acier noir, un verre saphir inrayable et un bracelet de cuir. A l’intérieur : un mouvement suisse automatique, qui fonctionne donc sans pile et sans qu’il soit besoin de remonter la montre.
La mode est aux shorts très courts à mi-cuisse et aux bermudas arrivant nettement au-dessus du genou. Beaucoup de bleus et de kakis unis et des motifs camouflage.
Pour en savoir plus sur cette tendance et comprendre d’où elle vient, je vous invite à lire cet article : Mini-shorts.
Une cinquantaine de restaurants de bagels a ouvert à Paris ces 3 dernières années. Pour tout savoir de ce sandwich traditionnel juif né en Europe centrale et très prisé des newyorkais et Montréalais, nous avons rencontré Patrick, créateur de Only Bagel rue poissonnière.
D’où viennent les bagels ?
La légende raconte qu’un boulanger de Vienne a créé ce pain en 1683 pour rendre hommage au roi de Pologne et Lituanie qui a repoussé l’invasion des Turcs qui menaçait la capitale autrichienne. Il a créé un pain en forme d’étrier (Bügel en allemand) car le roi était un bon cavalier. Les juifs d’Europe de l’Est ont adopté ce pain, puis ils l’ont importé aux Etats-Unis et au Canada, notamment à New York et à Montréal. Il est né en Europe, il est parti aux Etats-Unis et au Canada et il revient maintenant en Europe, notamment à Paris. C’est le come back du bagel.
Qu’est ce qui t’a donné envie d’ouvrir Only Bagel ?
En Irlande, où j’ai vécu, j’avais l’habitude de manger dans des bagel shops. Je travaillais dans la finance – comptabilité. J’avais envie de créer ma boite. Un jour, j’ai vu un panneau « devenez franchisé ». Je me suis demandé où je pourrais en manger à Paris. Je suis rentré, j’ai regardé sur google « Bagel Paris » et je n’en ai vu qu’une dizaine. En rentrant à Paris, j’ai décidé d’ouvrir Only Bagel. En 3 ans, le nombre d’établissements a été multiplié par 5.
Quel est le secret d’un bon bagel ?
Le pain doit être dense et ferme. Pour obtenir cette texture, il faut une fabrication spécifique : un anneau homogène fait d’une pâte qui contient du malt, de l’œuf et du sucre. Elle est plongée brièvement dans l’eau bouillante avec parfois du miel, puis cuite au four. Les recettes de base pour la garniture c’est cream cheese avec du saumon. J’ai ajouté avocat ou concombre. Ou pastrami, de l’émincé de bœuf épicé. Les combinaisons sont infinies. J’en propose 15, végétarien, au poulet, avec toutes sortes de fromages : brie, cheddar… avec des confitures, de figues par exemple. J’ai adapté les recettes au marché parisien : raclette, chèvre… En édition limitée, je fais aussi des italiens avec de la mozzarella, des tomates.
D’où vient la déco ?
Je l’ai faite avec le cabinet 2D. On a finalisé le concept en intégrant du mobilier en bois vintage. L’idée c’est de mêler tradition et modernité. Les pieds de tables sont chinés. Il y a des caisses en bois. Et modernité avec le comptoir blanc épuré. La déco combine bleu magnétique, blanc et bois. Je propose mes murs à des artistes, photographes, peintres, pour qu’ils exposent leurs œuvres pendant 2 mois. En ce moment c’est Magali Jouishomme qui présente ses photos urbaines.
Only Bagel 11 rue Poissonnière 75002 Paris.
Petite parenthèse : Dans le prolongement des rues Montorgueil et des petits carreaux, la rue Poissonnière a vu s’ouvrir de nombreux nouveaux commerces, bars et restaurants : L’ivress, l’assiette à carreaux, La boutique des saveurs, Beer&Malt…
Le beau temps est enfin annoncé pour cette semaine. C’est le moment de s’équiper en débardeur. Grande tendance cette année aux imprimés animalier. Exemple avec French Disorder, une toute nouvelle marque française.
