Ce sport nautique à la mode, qui se pratique avec une planche et un cerf volant géant, procure des sensations après quelques jours d’apprentissage.
Photo d’un kitesurfer prise à Lanzarote
Des surfeurs tractés par un cerf volant géant qui voltigent sur les flots et dans les airs. Le kitesurf est un sport très beau et impressionnant à regarder. Et amusant à pratiquer. Il procure des sensations fortes avec des décollages dans les airs, des vitesses de glisse qui atteignent, pour les champions du monde, les 100 km/h.
Ce n’est pas un sport que l’on peut pratiquer sans initiation encadrée car il peut être dangereux. Mais la progression est rapide et le plaisir immédiat. Ce n’est pas un sport de force, mais d’endurance. L’effort physique n’est très intense, mais il dure longtemps. Il fait notamment beaucoup travailler les abdominaux. La pratique du skateboard, surf, snowboard, et surtout du wakeboard, permet un apprentissage plus rapide du kitesurf.
Pour apprendre le kitesurf, il faut d’abord savoir maîtriser le kite. C’est-à-dire la voile en forme d’arche ou aile de traction. Cette phase d’apprentissage du pilotage se déroule sur la plage. Le temps de comprendre comment se servir de la direction du vent et de sa force, la voile se dirige à l’aide d’une barre, et d’acquérir les réflexes de sécurité. Dans un second temps, l’apprentissage se passe dans l’eau, pour apprendre par exemple à faire redécoller la voile quand elle est tombée dans la mer. Les bases de la pratique de ce sport s’acquièrent en 3 cours de 4 heures chacun. Après quelques semaines de pratique, certains arrivent déjà à effectuer des backloops (rotation arrière), ce qui procure de très fortes sensations. Mais l’apprentissage passe par des situations difficiles. Par exemple celle de se faire tracter sous l’eau. Beaucoup de vidéo en ligne donnent de bons conseils et permettent d’apprendre plus vite.
Quelle est la mode cet hiver sur les pistes enneigées de nos montagnes ? Pour le savoir, j’ai demandé à tous les services presse des marques de vêtements de ski, blousons et pantalons avec qui je suis en contact de m’envoyer leurs photos de tenues pour skier ou surfer.
Cet hiver, les tenues de ski pour homme sont très sobres, le plus souvent dans des couleurs unies et vives, parfois fluo, avec un contraste fort entre le blouson et le pantalon.
D’Eden Park à Serge Blanco et Ruckfield, la saga des marques liées au rugby.
Mode rugby
Peut-être était-ce pour contrebalancer l’image d’un sport ultra viril et brutal, en 1987, des joueurs de Rugby du Racing Club de France ont fêté leur finale en portant un nœud papillon rose autour du cou au Parc des Princes devant 50 000 personnes et en direct à la télévision. C’est le point de départ de la création d’Eden Park par une bande de copains dont Franck Mesnel et Éric Blanc. Son nom est celui du stade de rugby d’Auckland en Nouvelle-Zélande, où s’est déroulée la première Coupe du Monde de rugby en 1987. Le champion Franck Mesnel crée un style, avec 2 pièces emblématiques : le maillot et le blazer club avec comme logo, le nœud papillon rose.
En 1992, Serge Blanco qui détient le record du nombre d’essais marqués en équipe de France, lance à son tour sa marque avec Jean-Jacques Lauby. La collection de cet hiver comprend des vêtements qui sont une célébration de l’héritage rugby avec des détails qui réinterprètent les codes rugby : broderies, dessous de cols en opposition, ganses travaillées, applications de tissus, alternance de pois ou de rayures. D’autres vêtements sont plus casual, ou habillés avec des costumes.
De son coté Sébastien Chabal lance sa marque en 2009, Ruckfield, ruck signifie « mêlée ouverte » et « field champs ». Il propose une collection sportwear avec polos, chemises, chinos, blousons, etc.
Withings, s’associe au champion français de natation Frédérick Bousquet pour présenter la nouvelle fonctionnalité de ses montres Activité et Activité Pop : le suivi de la natation.
Pour être au top à la plage cet été, il est grand temps de se remettre à pratiquer des exercices physiques. Par ailleurs, faire du sport permet de réduire l’hypertension artérielle, le diabète, les problèmes cardiaques, les risques d’AVC, de cancer du sein et du colon. CMG Sports Club, le Club de fitness qui a le plus de salles à Paris, 22 salles, propose de nouvelles activités : Disq Sculpt qui se pratique avec un accessoire autour de la taille pour travailler en résistance. Cet accessoire augmente la difficulté de chaque mouvement. La résistance est réglable avec 8 niveaux d’intensité et elle est plus constante que si l’on utilise un élastique. Ce cours permet de se remettre en forme rapidement, de perdre du poids et d’améliorer ses performances physiques. Zumba Burst, version haute intensité de la Zumba pour ceux qui aiment pratiquer une activité physique en musique et en dansant.
Pour ceux qui souhaitent pratiquer des efforts intenses : Au sein du Club Italie, le CMG ouvre2 studios, le premier dédié au CrossFit, le second au cycling avec en exclusivité européenne : Immersive Fitness et le nouveau concept RPM Les Mills : RPM Sprint.
Et pour ceux qui veulent retrouver le zen : Yoga et Qi Gong spirituels par Davina(la complice de Véronique de Gym Tonic)
De son coté Véronique anime depuis le 26 mai, Silver Tonic, une activité destinée aux seniors et à tous ceux qui veulent entretenir leur forme et développer leur tonus. Le cours s’appuie sur des techniques de barre au sol. Il permet de se tonifier en douceur et de se fortifier. Il est particulièrement utile pour redresser son dos, une problématique qui vient souvent avec le vieillissement du corps.
A partir de mars seront lancé les 2 cours Pole Fit et Sexy Attitude, en partenariat avec la Pink School: pour gainer son corps avec des chorégraphies autour d’une barre de pôle dance.
Et s’il était possible de maigrir par le simple fait de porter un bracelet ? Bien heureuse serait la population touchée par le surpoids. Le bracelet de Garmin a le pouvoir de faire maigrir son porteur mais non sans effort. Et c’est déjà un avantage qu’on ne retrouve pas chez tous les fabricants de ce type de bracelets qui mesurent l’activité physique.
Par Pierre Anzil
Faire du sport sans en faire ?
Le Quantified Self (mesure de soi) est à la mode, avec comme produit phare les bracelets capteur d’activité. La plupart du temps ces bracelets font croire à leur porteur que l’on peut « faire du sport sans faire de sport ». Le marketing de ce genre de produit tourne autour de l’objectif d’une quantité de mouvements à réaliser chaque jour pour se déculpabiliser de ne pas pratiquer d’activité physique. C’est une supercherie.
Les bracelets poussent à atteindre l’objectif de 10 000 pas quotidiens pour avoir une bonne condition physique. Pour atteindre un tel objectif, certains se contenteront de quelques tours de pâté de maison supplémentaires ou de descendre du métro une station avant pour faire le reste du trajet à pieds. La limite de ces bracelets magiques se trouve là. Le porteur ne fait en réalité pas plus de sport qu’avant, car une activité physique de faible intensité n’a pas d’effet sur l’amélioration de la condition physique. Seuls les efforts d’intensité moyenne à élevée ont un bénéfice sur la santé et sur la perte masse grasse.
Vivofit de Garmin : Le Test
Garmin est le premier en France à proposer un bracelet qui mesure la fréquence cardiaque donc l’intensité de l’effort. Grâce à elle, il n’est plus question de quantité de mouvement mais de niveau d’effort fourni.
Il nécessite l’utilisation d’un accessoire : le moniteur de fréquence cardiaque sous la forme d’une ceinture thoracique. Il offre un suivi d’activité physique détaillé toute la journée. Il se présente sous la forme d’une ceinture thoracique. Certains s’en accommoderont et l’oublieront rapidement. D’autres trouveront son contact tout autour du torse insupportable.
Par pression de son unique bouton, le bracelet fait défiler sur son écran le nombre de pas, la distance, les calories, l’heure, la date et la fréquence cardiaque. L’affichage nécessite de la lumière ambiante faute de rétroéclairage. On retrouve sur celui-ci une jauge qui se remplit à mesure que l’on … ne fait rien. Bonne idée ! Mais mieux exploitée chez Jawbone avec son Up qui vibre pour nous rappeler que l’on ne bouge pas.
L’affichage le plus intéressant est celui de la fréquence cardiaque. D’un côté sont affichés les battements par minute et de l’autre la zone d’intensité dans laquelle on se trouve (paramétrable sur l’interface Garmin Connect). Grâce à cette information unique dans le monde des capteurs d’activité, il est possible d’adapter son effort en direct, lors d’une marche par exemple, pour en tirer le maximum de bénéfices.
Suivi des données
Garmin a eu la bonne idée de proposer l’envoi des données du bracelet soit en Bluetooth Smart ou en ANT+. Concernant Android, sachez que Bluetooth Smart ne fonctionne que depuis la version 4.3 du système.
Une fois les données transférées sur ordinateur, le résultat se retrouve sur l’interface Garmin Connect (application ou site internet). Parmi les informations recueillies on retrouve notre fameuse fréquence cardiaque mesurée toute la journée. Moins utile mais tout de même présent, le suivi du sommeil. Malheureusement, plus difficile à interpréter qu’avec le bracelet Jawbone Up. Celui-ci, n’a pas son pareil pour suivre le sommeil de son porteur. Alors que Garmin se contente d’un graphique anecdotique, Jawbone fournit des informations comme le temps d’endormissement ou celui passé en éveil.
En attendant l’arrivée en France de Basis, le Vivofit est certainement le plus intéressant des capteurs d’activité si l’on veut un vrai suivi de l’effort quotidien. L’utilisation de la fréquence cardiaque en continu en fait un allié pour celui qui souhaite faire du quotidien, un sport.
Cette doudoune que l’on peut porter aussi bien au ski qu’en ville est réversible. L’isolation est assurée par un duvet de canard argenté des Pyrénées. Le pull et le polo sont en laine mérinos. Gants en cuir. Rossignol 1907.
Ce magazine publie des enquêtes sur les tendances mode donnant des explications sur ce qu'elles disent de notre époque. Des interviews de personnalités : acteurs, chanteurs et sportifs, des articles sur la protection de l'environnement, le matériel de sport, les nouvelles technologies, les montres, la gastronomie. Des tests de jeux vidéo. Des conseils pratiques. N° CPPAP : 0126 W 93848.