Test sur PS4 du jeu Marvel Gardiens de la galaxie : Comme au cinéma
Dans ce jeu d’aventure, on incarne Star-Lord dans un univers très proche des films du même nom, inspirés des comics Marvel.
Des images et décors somptueux d’un gigantisme intersidéral et de planètes colorées. C’est un vrai plaisir d’admirer le graphisme.
Dans ce jeu d’action aventure adapté des comics Marvel, le joueur anime le personnage de Peter Quill alias Star-Lord accompagné de Rocket, Gamora, Drax et Groot.
C’est un jeu avec une action linéaire : il faut suivre un cheminement. Concrètement, suivre Rocket la plupart du temps. C’est pour moi un bon point, car je préfère suivre une histoire plutôt qu’être perdu dans un univers ouvert. Là, les choix se limitent à deux options possibles proposées de temps à autre lors de certains dialogues. Les choix faits ont probablement des conséquences importantes sur la suite de l’aventure.
Au début du jeu (j’en suis au début, j’ai joué environ deux heures. Je complèterai ce test au fur et à mesure de mon avancée), les Gardiens de la galaxie ont pour mission de se rendre dans une sorte de décharge de vaisseaux spatiaux pour mettre la main sur une créature, puis la revendre à Lady Hellbender. Il faut récupérer du matériel caché, sauter de passerelles en passerelles, trouver des passages, combattre quelques créatures. L’esprit du jeu, son gameplay, son graphisme n’ont rien à voir avec Marvel’s Avengers, la précédente collaboration entre Square Enix, Eidos Montréal et Marvel.
L’univers est très pop comme dans les films du MCU avec une forte inspiration années 80 évidemment. On retrouve la bande originale ce cette décennie avec parfois une musique plus rock que dans les films. On entend notamment « Where eagles dare » d’Iron Maiden. Mais aussi de grands tubes pop européens comme « Relax » de Frankie goes to Hollywood, « Wake me up before you gogo » de Wham, « Take on me » de a-ha ou Tears for fears avec « Everybody wants to rule the world ».
Mon avis sur le jeu Marvel Gardiens de la galaxie
J’aime beaucoup le graphisme, les images, la linéarité du jeu. C’est un jeu en solo, mais entouré d’une équipe. J’aime moins le coté parfois un peu enfantin, notamment des monstres à combattre. Même si c’est un jeu PEGI16. Les personnages comme dans le film, sont très bavards. Je s’appelle Groot. Ils n’arrêtent pas de se chambrer, ce qui devient un peu répétitif.
Un détail amusant que l’on voit au début du jeu : Quill a décoré sa cabine dans le vaisseau spatial d’un poster de Dazzler, une mutante qui aide les X-men à combattre le Club de Damnés dans les Comics. Chanteuse de disco, elle a le pouvoir de transformer le son en lumière. Elle apparaît pour la première fois en 1980 dessinée par John Byrne. On l’aperçoit aussi dans le film Dark Phoenix où elle chante lors d’une fête à l’école du Professeur Xavier. Ce clin d’œil est certainement un signe de la fusion prochaine entre les deux univers Marvel au cinéma.
Square Enix / Eidos Montréal / Marvel : Les Gardiens de la Galaxie.
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