Pour être au top à la plage cet été, il est grand temps de se remettre à pratiquer des exercices physiques. Par ailleurs, faire du sport permet de réduire l’hypertension artérielle, le diabète, les problèmes cardiaques, les risques d’AVC, de cancer du sein et du colon. CMG Sports Club, le Club de fitness qui a le plus de salles à Paris, 22 salles, propose de nouvelles activités : Disq Sculpt qui se pratique avec un accessoire autour de la taille pour travailler en résistance. Cet accessoire augmente la difficulté de chaque mouvement. La résistance est réglable avec 8 niveaux d’intensité et elle est plus constante que si l’on utilise un élastique. Ce cours permet de se remettre en forme rapidement, de perdre du poids et d’améliorer ses performances physiques. Zumba Burst, version haute intensité de la Zumba pour ceux qui aiment pratiquer une activité physique en musique et en dansant.
Pour ceux qui souhaitent pratiquer des efforts intenses : Au sein du Club Italie, le CMG ouvre2 studios, le premier dédié au CrossFit, le second au cycling avec en exclusivité européenne : Immersive Fitness et le nouveau concept RPM Les Mills : RPM Sprint.
Et pour ceux qui veulent retrouver le zen : Yoga et Qi Gong spirituels par Davina(la complice de Véronique de Gym Tonic)
De son coté Véronique anime depuis le 26 mai, Silver Tonic, une activité destinée aux seniors et à tous ceux qui veulent entretenir leur forme et développer leur tonus. Le cours s’appuie sur des techniques de barre au sol. Il permet de se tonifier en douceur et de se fortifier. Il est particulièrement utile pour redresser son dos, une problématique qui vient souvent avec le vieillissement du corps.
A partir de mars seront lancé les 2 cours Pole Fit et Sexy Attitude, en partenariat avec la Pink School: pour gainer son corps avec des chorégraphies autour d’une barre de pôle dance.
Interview d’Alexandre Styker : « J’aime les vêtements pour pouvoir les enlever. »
Avec son air angélique et ses cheveux blonds, Alexandre Styker joue le diable dans Don Giovanni en Italie. L’acteur vient de réaliser un court métrage contre l’homophobie, il prépare un livre de photos de lui nu, son film Belinda et moi avec Line Renaud sort en DVD, il travaille sur un projet de serial killer… Je l’ai interviewé et photographié dans l’église Saint Eustache à Paris.
L’image sombre d’un terrifiant château perché au sommet d’une colline, au son d’une terrible musique. La neige tombe en tempête dans la nuit… Dès les premières secondes, cette comédie musicale happe les spectateurs.
Après New York et Londres, le cinéaste Larry Clark (Bully, Kids, Ken Park,…) vend à Paris des photos du 5 au 9 septembre au Silencio, night club décoré par David Lynch. Il s’agit notamment de photos de jeunes gens, des skateboarders, entre autres.
Edouard Collin : « Je joue totalement l’inverse de ce que je suis »
Le comédien, Edouard Collin, à l’affiche de Revenir un jour, pièce sur la reformation d’un boys band, nous parle des personnages, de son rôle, du montage de la pièce, de sport et de mode.
Après le livre photo numérique, j’ai testé la création du livre photo argentique de Négatif+. Il ne s’agit pas simplement d’un livre avec des photos imprimés, mais d’un livre fait de tirages sur papier photo haute résolution et relié. Le papier photo peut être mat ou brillant. Le résultat est époustouflant avec des contrastes et une résolution parfaits.
Avec certains de ses concurrents, il faut au préalable télécharger un logiciel de création d’album. Là, tout se passe en ligne. Négatif+ permet de recadrer et retoucher les photos, de modifier la luminosité, les contrastes, les couleurs, etc.
Et s’il était possible de maigrir par le simple fait de porter un bracelet ? Bien heureuse serait la population touchée par le surpoids. Le bracelet de Garmin a le pouvoir de faire maigrir son porteur mais non sans effort. Et c’est déjà un avantage qu’on ne retrouve pas chez tous les fabricants de ce type de bracelets qui mesurent l’activité physique.
Par Pierre Anzil
Faire du sport sans en faire ?
Le Quantified Self (mesure de soi) est à la mode, avec comme produit phare les bracelets capteur d’activité. La plupart du temps ces bracelets font croire à leur porteur que l’on peut « faire du sport sans faire de sport ». Le marketing de ce genre de produit tourne autour de l’objectif d’une quantité de mouvements à réaliser chaque jour pour se déculpabiliser de ne pas pratiquer d’activité physique. C’est une supercherie.
Les bracelets poussent à atteindre l’objectif de 10 000 pas quotidiens pour avoir une bonne condition physique. Pour atteindre un tel objectif, certains se contenteront de quelques tours de pâté de maison supplémentaires ou de descendre du métro une station avant pour faire le reste du trajet à pieds. La limite de ces bracelets magiques se trouve là. Le porteur ne fait en réalité pas plus de sport qu’avant, car une activité physique de faible intensité n’a pas d’effet sur l’amélioration de la condition physique. Seuls les efforts d’intensité moyenne à élevée ont un bénéfice sur la santé et sur la perte masse grasse.
Vivofit de Garmin : Le Test
Garmin est le premier en France à proposer un bracelet qui mesure la fréquence cardiaque donc l’intensité de l’effort. Grâce à elle, il n’est plus question de quantité de mouvement mais de niveau d’effort fourni.
Il nécessite l’utilisation d’un accessoire : le moniteur de fréquence cardiaque sous la forme d’une ceinture thoracique. Il offre un suivi d’activité physique détaillé toute la journée. Il se présente sous la forme d’une ceinture thoracique. Certains s’en accommoderont et l’oublieront rapidement. D’autres trouveront son contact tout autour du torse insupportable.
Par pression de son unique bouton, le bracelet fait défiler sur son écran le nombre de pas, la distance, les calories, l’heure, la date et la fréquence cardiaque. L’affichage nécessite de la lumière ambiante faute de rétroéclairage. On retrouve sur celui-ci une jauge qui se remplit à mesure que l’on … ne fait rien. Bonne idée ! Mais mieux exploitée chez Jawbone avec son Up qui vibre pour nous rappeler que l’on ne bouge pas.
L’affichage le plus intéressant est celui de la fréquence cardiaque. D’un côté sont affichés les battements par minute et de l’autre la zone d’intensité dans laquelle on se trouve (paramétrable sur l’interface Garmin Connect). Grâce à cette information unique dans le monde des capteurs d’activité, il est possible d’adapter son effort en direct, lors d’une marche par exemple, pour en tirer le maximum de bénéfices.
Suivi des données
Garmin a eu la bonne idée de proposer l’envoi des données du bracelet soit en Bluetooth Smart ou en ANT+. Concernant Android, sachez que Bluetooth Smart ne fonctionne que depuis la version 4.3 du système.
Une fois les données transférées sur ordinateur, le résultat se retrouve sur l’interface Garmin Connect (application ou site internet). Parmi les informations recueillies on retrouve notre fameuse fréquence cardiaque mesurée toute la journée. Moins utile mais tout de même présent, le suivi du sommeil. Malheureusement, plus difficile à interpréter qu’avec le bracelet Jawbone Up. Celui-ci, n’a pas son pareil pour suivre le sommeil de son porteur. Alors que Garmin se contente d’un graphique anecdotique, Jawbone fournit des informations comme le temps d’endormissement ou celui passé en éveil.
En attendant l’arrivée en France de Basis, le Vivofit est certainement le plus intéressant des capteurs d’activité si l’on veut un vrai suivi de l’effort quotidien. L’utilisation de la fréquence cardiaque en continu en fait un allié pour celui qui souhaite faire du quotidien, un sport.
Hier, alors que je me promenais avec mon ami Thomas, qui est styliste, il me dit : « Quoi ?! mais tu n’as pas encore écrit sur le normcore ? » Le normcore, c’est cette tendance mode, qui semble être un no look, le style de l’immense majorité des gens, et peut-être que je dois m’inclure dedans, qui sont stylistiquement non impliqués et portent des vêtements quelconques. La grande différence avec le no look, c’est que cette banalité est choisie, volontaire. Admirez le paradoxe. Le normcore, ce serait la normalité décalée. Se différencier en refusant la différence. Vincent Glad dans son article sur Slate écrit « Plus hipster que les plus hipsters, soyez fou : soyez normal ». Il définit cette tendance comme : « Une «fadeur stylisée» et «consciente d’elle-même» ». Le cabinet de tendances new-yorkais K-Hole cité par Vincent donne la clé : « Le vrai cool est de tenter de maîtriser la normalité ».
Le normcore se tourne beaucoup vers les années 90 avec ses horribles blousons à soufflets, ces sweats à capuches basic, des jeans droits, survêts années 90 un peu brillant, veste de jogging coupé en V, des matières parachute, un K-Way, et même des laines polaires…
Tout a déjà été écrit sur cette tendance : d’où elle vient, ce qu’elle signifie, comment elle se décline,… Alors j’ai plutôt envie de me pencher sur cette question : le normcore peut-il ne pas être normchiant ?
Pour être sexy avec ces vêtements basiques, il faut un parti-pris de style, jouer le décalage à fond, c’est le point commun avec la tendance ridicool dont j’ai parlé en 2011. Une autre astuce serait peut-être de piocher dans les basics qui peuvent être sexy comme les sweats et T-shirts à manches raglan, qui mettent les pecs en valeur. Ou encore de raccourcir ses bermudas.
Ce magazine publie des enquêtes sur les tendances mode donnant des explications sur ce qu'elles disent de notre époque. Des interviews de personnalités : acteurs, chanteurs et sportifs, des articles sur la protection de l'environnement, le matériel de sport, les nouvelles technologies, les montres, la gastronomie. Des tests de jeux vidéo. Des conseils pratiques. N° CPPAP : 0126 W 93848.