Mode homme été 2012 : Des shorts de plus en plus courts
Aucun autre vêtement n’est plus viril. Longtemps la « culotte courte » est même restée un habit exclusivement réservé aux hommes. Puis peu à peu, comme beaucoup d’autres vêtements pour homme, les femmes se le sont approprié. Comme je l’expliquais en juin 2011 dans cette enquête Mode homme 2011 : le retour du mini short, dans les années 70 et 80 les hommes portaient des mini shorts, en ville et pour le sport. Les footballers professionnels ou tennismen par exemple, comme Platini ou Borg avaient des shorts arrivant tout en haut des cuisses. Puis pendant 20 ans, centimètre par centimètre, dans une société de plus en plus puritaine (quoiqu’en disent certains à la mémoire courte), les shorts se sont allongés jusqu’à tomber sous le genou (Il y a une quinzaine d’années c’était même la mode des pantacourts).
Les choses changent ouf ! Depuis 3 ou 4 ans, la tendance s’inverse : les shorts font leur retour et de leur coté, les bermudas raccourcissent de quelques centimètres par an. Ils ne se portent plus qu’au-dessus du genou. La tendance est arrivée par les marques de luxe. Elles ont été les premières à proposer des shorts. En 2012, on en trouve partout : jusque dans les rayons des marques à petits prix, des marques de sports, des vêtements techniques. Voici quelques exemples en version ville, sport, créateur, luxe….
Petit conseil de stylisme : A moins d’avoir 16 ans, il est impératif d’avoir les jambes musclées et poilues.
Autres articles sur le sujet :
Le retour du bon vieux short, comme quoi la mode est un cycle ^^
Il serait impératif d’avoir les jambes poilues pour porter un short?!?
Complètement à côté de la plaque…
Soit votre styliste ne regarde pas ce qui se passe autour de lui, soit il a un problème avec l’épilation!
La tendance est plutôt d’avoir des hommes qui prennent soin d’eux et sans complexe : la crême hydratante suivie de la crême anti-rides le matin, un style de vêtement fashion et une peau épilée (torse, jambes, aisselles)!
La mode évolue et le stylisme doit évoluer avec.
En dehors de ceux qui pratiquent des compétitions de cyclisme ou de natation, très peu d’hommes s’épilent. Oui je regarde absolument ce qui se passe autour de moi…. Et je pense, c’est mon point de vue, que sans poils, mieux vaut cacher ses jambes : un homme épilé est aussi peu sexy qu’une femme velue. Donc oui le short impose de façon impérative d’avoir les jambes musclées et poilues, à moins d’être prépubère. Depuis 2 ou 3 ans et je le répète à longueur d’analyse des tendances mode, l’homme réaffirme sa virilité avec toutes sortes d’influences sur l’habillement, notamment ce retour du mini-short et des vêtements sans manches.
Bonjour.
Je me permets de glisser un commentaire, qui, j’espère, sera utile.
Je dirai que naturel ou entretenu me semble l’idéal. Mais, pas maigrelet ni épilé totalement aujourd’hui. Il y a une nuance entre « entretenu » et « épilé intégralement »… Personnellement, je « diminue » le volume je dirai… 😉
Tant que l’épaisseur ne transforme pas les jambes en moquette à partir de laquelle aucun bout de peau n’est plus visible, on peut les conserver « naturels ».
Mais, tout cela doit être affaire de goûts et préférences personnels je suppose. 😉
Bonne journée.
Thomas
Un mec portant un short et laissant ainsi entrevoir ses jambes musclées et surtout poilues ? Moi je vote pour. ^^
D’ailleurs tous les mannequins des photos qui illustrent cet article ont les jambes poilues et je n’ai pas trouvé une seule photo avec un mec épilé
avec ou sans poils POUR LE MINI SHORT POR HOMME
Nous avons bien compris, Antoine a une préférence pour les poilus et il ne voit que ça !
En réalité il n’y a pas que des sportifs qui s’épilent, venez à Arcachon, endroit que j’habite et vous verez le contraire. Un mec svelte avec des jambes bronzées, musclées, épilées et en mini short n’est pas si mal que ça. Pour un ours avec de la bedaine je pense qu’il est mieux qu’il reste en survêtement…
Les mannequins des photos ne représentent pas vraiment la mode de la rue, leur attifements est volontairement excessif.